Croyances, foi et miracles

Brouillon auto
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Voilà deux concepts qu’il faudrait tenter d’expliquer pour, ne serait-ce que les comprendre et envisager l’idée.

Un miracle, c’est quoi au juste ? Et croire ? On peut se demander à qui ou à quoi on pourrait bien croire. Surtout à notre époque où tout semble nous donner l’impression qu’on est seul dans cet univers, livré à nous-mêmes et en plus, incapable de résoudre quoi que ce soit.

Il ne faut cependant pas tomber dans la noirceur des sentiments, et commencer à voir la vie morose. Ce n’est pas non plus le cas.

Le miracle, nous le cherchons ou l’attendons parfois comme quelque chose qui doit surgir de l’extérieur et frapper nos sens. Un peu comme le ferait un tour de magie, une illusion qui viendrait nous surprendre et nous laisser pantois.

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D’autre fois, nous le désirons ardemment, parce que nous sommes au bout du rouleau, que la vie tourne mal à notre désavantage et que rien ne nous laisse plus espérer en un avenir meilleur. Le pire, c’est quand nous désespérons totalement sur le sort d’un être cher. Nous supplions le ciel pour qu’un miracle survienne, que ce qui arrive n’ait jamais eu lieu, que le temps aille à reculons et que nous puissions tout changer, tout entreprendre autrement, tout, sauf ce que nous sommes en train de vivre.

Pourtant, quand ce miracle ou un autre arrive, nous nous mettons à croire.

Croire en la vie, croire en dieu, croire en soi. D’un coup, tout devient possible, tout, sans exception. La machine de l’esprit reprend de son entrain et les projets s’annoncent tout en couleur. C’est la vie qui s’illumine, le monde qui évolue, les gens qui sont soudainement plus beaux, plus touchants, plus respectueux.

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Tout d’un coup, on ne se laisse plus atteindre par des broutilles. On est moins regardant sur les détails, les oublis, les erreurs, les petites maladresses. On sourit aussi, on rigole plus volontiers, on est enfin joyeux.
Mais ce qui pourrait tout gâcher à nouveau, c’est que la vie continue, que les jours se ressemblent, que les drames se perpétuent et que l’homme reste désespérément un homme.

Alors, le risque est grand. Celui de perdre la mémoire, d’oublier que nous avons reçu un cadeau divin, une opportunité extraordinaire, une chance inouïe et tout à coup sans même qu’on s’en aperçoive, d’un seul coup, on se lamente à nouveau. On pleure de ne pas avoir assez, de manquer de ceci et de cela. Puis on revient au goût amer, celui d’une vie qui semble sans miracle possible.

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